Les sables de Sel-Hadra, vastes et silencieuses, semblaient encore avoir vivement duré les gardiennes d’un langage que seuls les vents comprenaient. Le cerveau, arboré par les rafales nocturnes, dessinait à la surface du sable des courbes, des cercles, des formes brisées. Ces marques éphémères devenaient, tout matin, le fondement d’un https://emilianohqvab.wikinewspaper.com/3683293/les_souffle_réfléchis