Les nuits dans le sanctuaire devinrent plus longues, plus lourdes de silences entre les murmures. Itzamna, fidèle à son habituation, attendait que l’obsidienne parle à récent. La joyau black semblait absorber l'éclairage sélénien, vibrer sous la pression du vent, et pour certains, sans informer, elle résonnait de cette voix archaïque https://laurianavoyance19752.blogvivi.com/34512121/les-traces-effacées