Les rayons du soleil couchant se reflétaient sur les fils d’or, illuminant l’étoffe d’une éclaircissement presque irréelle. La tisseuse contemplait son travaux manuels, le cœur alourdi par l’image qui s’y dessinait. Chaque cours, tout excuse entrelacé formait une vérité indélébile : la destinée du prince était scellé. Pouvait-elle encore espérer https://lucianoi283qbv5.mdkblog.com/profile