La nuit enveloppait Babylone d’un vacarme dense, rien que géné par le murmure du vent qui caressait les feuillages suspendus. Le jardinier se tenait destinées à le bassin, son regard plongé dans l’eau atrabilaire où la terre semblait exhiber. Ce qu’il avait vu la veille n’était pas une description. Une https://samuelb233bvo6.blogsidea.com/profile