Dans un village perdu au cœur d’une forêt dense, où les chemins n’étaient que des voies battus par les sabots des chevaux et les pas des fermiers, une femme vivait en retrait, à l’orée des but. Sa maison, bâtie en pierre et de bois sinistre, exhalait nettement une odeur d’herbes https://jolie-voyance85172.ja-blog.com/33624253/les-soifs-de-le-destin-et-de-la-voyance